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Les partenaires non étatiques de l’Iran au Moyen-Orient : des proxys, vraiment ?

Le Hezbollah libanais, les Houthis yéménites, des factions armées chiites irakiennes ou même, plus singulièrement, le Hamas et le Jihad islamique palestiniens sont souvent présentés comme des proxys iraniens au Moyen-Orient. L’idée sous-jacente est que la clé pour influer sur les actions de ces groupes serait d’exercer une pression maximale sur Téhéran. Seulement, si le soutien matériel iranien à ces organisations non étatiques est avéré, cela n’implique, par nature, ni un alignement idéologique total ni un lien de subordination évident. Parler en termes généraux masque une réalité vraisemblablement diverse en matière de contrôle effectif de l’Iran sur la direction des opérations des entités considérées. Cette note d’analyse met ainsi en lumière les limites d’une compréhension de la relation entre Téhéran et les mouvements armés qui lui sont affiliés via le seul prisme de la notion de proxys.

La Polynésie française accueille une session en région

Pour la 3ème fois en quinze mois, l’IHEDN a pris la direction de l’outre-mer pour l’organisation d’une nouvelle session en région, la 237ème, en Polynésie française. Elle a été ouverte le 6 mars, au musée de Tahiti, en présence du préfet Éric Spitz, Haut-commissaire de la République en Polynésie française, et du contre-amiral Geoffroy d’Andigné, COMSUP FAPF.

« Tout ce qui sort de la bouche de Poutine n’est pas un mensonge »

Pour les historiens Tetiana Zemliakova et Guillaume Lancereau, Vladimir Poutine « articule une série de clichés tiers-mondistes du temps de la Guerre froide et une troupe de personnages imaginaires » à partir « de l’état concret du monde politique, intellectuel et juridique ». Analyse rhétorique.