Il se place dans le tiercé des priorités de la présidence française du G20. La Commission européenne leur consacre depuis 2008 de communication et un rapport d’expert. Ils arrivent à à fédérer 37 industriels et chambres de commerce, pour adresser le 3 novembre dernier une lettre au G20. Ils inquiètent le Pentagone et s’invitent à l’ordre du jour du Congrès. Ils font la fortune des investisseurs avisés avec les cours multipliés, ou seulement par trois s’il s’agit des actions des entreprises qui pourront les exploiter dans dix ans ou quinze ans.